Apple Inc
Technology News Jeudi, heure de Pékin, le 22 mars, heure locale des États-Unis, le ministère américain de la Justice s'est joint à 16 États et au district de Columbia pour poursuivre conjointement Apple pour monopole, l'accusant d'utiliser illégalement comportement anticoncurrentiel pour parvenir à la domination du statut de l'iPhone. Cette affaire antitrust qui couve depuis longtemps a officiellement débuté.
Le ministère américain de la Justice a déposé jeudi cette plainte devant le tribunal fédéral du New Jersey, marquant l'entrée officielle dans la procédure judiciaire de l'enquête de cinq ans menée par l'agence antitrust sur Apple. Le ministère américain de la Justice estime que ce procès est comparable à la célèbre affaire antitrust de Microsoft il y a plus de 20 ans. Dans ce procès, les procureurs se sont concentrés sur l'iPhone parce qu'Apple a injustement restreint la capacité des utilisateurs d'iPhone à utiliser d'autres produits et services de plusieurs manières. Le ministère américain de la Justice espère utiliser le procès pour mettre fin aux pratiques anticoncurrentielles d'Apple, et il pourrait même avoir le pouvoir d'exiger la dissolution d'Apple.
Garland annonce un procès contre Apple
Le procureur général des États-Unis, Merrick Garland, a déclaré jeudi lors d'une conférence de presse annonçant le procès contre Apple : "Apple a consolidé son pouvoir de monopole. Non pas en améliorant ses propres produits, mais en rendant d'autres produits pires."
Apple a répondu en qualifiant le procès de "faux à la fois sur les faits et sur le droit" et en avertissant qu'il le serait. "Cela crée un dangereux précédent qui permet au gouvernement d'utiliser des mesures autoritaires pour interférer avec la conception technique des gens", et a juré de « se battre vigoureusement ». Après que le ministère américain de la Justice a intenté une action en justice, le cours de l'action Apple a clôturé en baisse de plus de 4 % jeudi, effaçant environ 113 milliards de dollars de valeur marchande et prolongeant la baisse cumulée de cette année à 11 %.
Acte d'accusation
L'acte d'accusation du ministère américain de la Justice fait 88 pages. Quelles sont leurs principales accusations contre Apple ? Voici les cinq points majeurs de ce procès :
1. Restrictions sur les applications multiplateformes
Le procès affirme que les restrictions d'Apple sur les applications les empêchent de fournir une expérience utilisateur cohérente sur différents appareils, ce qui rend plus difficile la tâche des consommateurs. utiliser leurs smartphones. Basculer entre les plateformes.
2. Limiter les jeux et les applications en streaming
Les procureurs estiment que les restrictions d'Apple sur les services de streaming ont obligé les utilisateurs à payer pour du matériel pour smartphone plus cher. Sans cette restriction, les utilisateurs n’auraient pas à payer des frais aussi élevés.
3. Réduire l'expérience de messagerie et vidéo des utilisateurs d'Android
Le procès affirme que, parce qu'Apple favorise sa propre application iMessage et interdit à d'autres applications d'envoyer ou de recevoir des messages texte de l'opérateur, les communications entre les utilisateurs d'iPhone et les utilisateurs non-iPhone manquent d'innovation et sécurité. Le ministère américain de la Justice a déclaré qu'Apple avait humilié les utilisateurs d'Android en faisant apparaître les textes qu'ils envoient dans des bulles vertes (les utilisateurs d'iPhone ont des bulles bleues) et que la qualité vidéo était médiocre et granuleuse.
4. Rendre les montres intelligentes peu intelligentes
iPhone
Les procureurs ont déclaré que la dépendance de l'Apple Watch à l'égard de l'iPhone avait amené Apple à enfermer les utilisateurs dans l'écosystème iOS, et que la coopération de l'iPhone avec des montres intelligentes tierces ne l'était pas. assez idéal.
5. Refus d'ouvrir complètement les portefeuilles numériques
Les procureurs estiment que les restrictions d'Apple sur les fonctions de paiement sans contact et le développement par des tiers de portefeuilles numériques multiplateformes ont nui à la capacité des entreprises et des clients à effectuer des transactions numériques sécurisées sur les téléphones mobiles indépendamment de Pomme. .
Afin de prouver le comportement anticoncurrentiel d’Apple, le ministère américain de la Justice a également cité des courriels internes de quatre hauts dirigeants d’Apple impliqués dans le procès, dont le défunt fondateur Steve Jobs et l’actuel PDG Tim Cook.
Voici quatre e-mails dans la plainte :
1. En 2010, Jobs a déclaré qu'Apple avait "forcé" les développeurs à utiliser son système de paiement
Cet e-mail de Jobs était en réponse à un dirigeant d'Apple. Le dirigeant lui a dit que regarder une femme passer de l’iPhone à Android dans une publicité pour une liseuse de livres électroniques Kindle le mettait mal à l’aise. Jobs lui a alors dit qu'Apple « forcerait » les développeurs à utiliser son système de paiement.
Emplois
Das US-Justizministerium sagte in der Klage, dass diese E-Mail beweise, dass die übliche Methode von Apple, auf solche Wettbewerbsbedrohungen zu reagieren, darin bestehe, „den Benutzern und Entwicklern den Austritt zu erschweren oder kostspieliger zu machen, anstatt ihre Produkte attraktiver zu machen.“ Benutzer und Entwickler binden.“ Das US-Justizministerium sagte, Apple habe die Entwicklung von Cloud-Streaming-Anwendungen und -Diensten eingeschränkt, die „den Verbrauchern den Genuss hochwertiger Videospiele und anderer Cloud-Anwendungen ermöglichen, ohne für teure Smartphone-Hardware bezahlen zu müssen“.
2. Im Jahr 2016 teilte der Marketingdirektor von Apple Cook mit, dass die Entwicklung einer Android-Version von iMessage schädlich für das Unternehmen wäre.
In diesem Jahr leitete Philip Schiller, der damalige Senior Vice President für globales Marketing von Apple, einen Brief per E-Mail an CEO Cook weiter: mit der Aussage, dass „die Verfügbarkeit von iMessage auf Android uns mehr schaden als helfen wird.“
Schiller
Das US-Justizministerium warf Apple vor, Android-Geräten absichtlich die Nutzung seiner iMessage-App zu verbieten, um konkurrierende Instant-Messaging-Apps zu verschlimmern. Das US-Justizministerium wies darauf hin, dass Textnachrichten, die von Android-Benutzern an iPhone-Benutzer gesendet wurden, in grünen Blasen angezeigt wurden und die darin enthaltenen Videos nicht klar waren.
3. Im Jahr 2019 sagte der Vizepräsident für Produktmarketing der Apple Watch, dass die Uhr iPhone-Nutzer möglicherweise daran hindern könnte, auf Android umzusteigen.
Das US-Justizministerium hat die Führungskraft in der Klage nicht genannt, und die Kartellbehörde hofft, dies zu tun Verwenden Sie diese E-Mail, um den Support zu unterstützen. Es wird behauptet, dass Apple sich bewusst weigert, iPhones mit Smartwatches von Drittanbietern kompatibel zu machen, sodass iPhone-Benutzer nur Apple-Produkte verwenden können.
Der Klage zufolge glaubt Apple, dass die Kompatibilität der Apple Watch mit Konkurrenztelefonen „ein Unterscheidungsmerkmal des iPhones beseitigen würde“.
4. Im Jahr 2020 forderte Cook Android-Nutzer auf, ein iPhone zu kaufen.
Cook „Ich kann meiner Mutter bestimmte Videos nicht schicken“, schrieb die Person in der E-Mail.
Cook antwortete damals: „Kauf deiner Mutter ein iPhone.“
Die vom US-Justizministerium am Donnerstag eingereichte Klage ist nur der Anfang des Kampfes der US-Regierung mit Apple. Die heftige Reaktion von Apple macht deutlich, dass sich das Unternehmen energisch verteidigen wird. Der Rechtsstreit dürfte sich noch lange hinziehen. Zuvor brauchten die US-Regierung und Microsoft mehr als drei Jahre, um in diesem berühmten Kartellverfahren eine Einigung zu erzielen, und die Generalstaatsanwälte, die mit dem Ergebnis unzufrieden waren, verbrachten weitere vier Jahre damit, den Fall vor das Berufungsgericht zu bringen. (Autor/Xiao Yu)
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