Donald Trump sait que le dollar est la pierre angulaire de la puissance américaine. La liquidité des bons du Trésor en fait l'actif de réserve privilégié
Bitcoin obtient enfin la reconnaissance qui lui est due. Voici le top 4 des bonnes nouvelles que nous réserve la présidence Trump.
Bitcoin contre Dollar
Donald Trump sait que le dollar est la pierre angulaire de la puissance américaine. La liquidité des bons du Trésor en fait l’actif de réserve préféré des pays exportateurs. Ce système dit du « pétrodollar » permet aux États-Unis de maintenir un juteux déficit commercial sans souffrir d’une dévaluation de leur monnaie.
En d’autres termes, le pétrodollar permet aux Américains d’échanger du pétrole, des métaux, des terres rares, des denrées alimentaires, etc., contre des reconnaissances de dettes. Tel est le privilège exorbitant auquel les BRICS cherchent à mettre fin.
Le protectionnisme économique promis par Trump suggère que les accords commerciaux se resserreront à mesure que les BRICS s'éloigneront du dollar. Néanmoins, une monnaie de réserve mondiale ne peut pas être simplement décrétée, même pour les BRICS.
Le Bitcoin arrive ainsi à un moment crucial avec un atout irremplaçable : sa masse monétaire limitée de 21 millions de BTC. C’est aussi une monnaie apatride qu’aucune nation ne peut confisquer. Ces deux avancées technologiques la prédisposent à devenir une monnaie de réserve internationale.
« Si je suis élu, mon gouvernement conservera 100 % de tous les bitcoins que le gouvernement américain détient actuellement ou acquiert à l'avenir », a déclaré Donald Trump lors de la conférence Bitcoin de Nashville en juillet dernier.
Il a également déclaré que «c'est la politique actuelle du gouvernement qui menace le dollar, pas le bitcoin».
Face à l’inévitable érosion de l’usage du dollar dans le monde, acquérir une « réserve stratégique de bitcoins » avant tout le monde pourrait s’avérer être un coup de poker digne du pétrodollar.
Voici un rapport récent rédigé par le Bitcoin Policy Institute expliquant en détail pourquoi les États-Unis feraient bien d'adopter le bitcoin comme monnaie de réserve internationale.
Exploitation minière de Bitcoin
La dynamique de pouvoir géopolitique du 21e siècle est fondamentalement une compétition entre réseaux technologiques mondiaux. Les États-Unis dominent depuis des décennies avec Internet, le GPS, Microsoft, Facebook, etc.
Le dollar et le réseau SWIFT sont deux autres exemples importants de ce contrôle. Malheureusement, des sanctions financières à grande échelle (gel des réserves de change russes et déconnexion de SWIFT) conduiront nécessairement à l'émergence de réseaux et de réserves de valeur alternatifs.
Les nations refusant de s’aligner sur la politique étrangère impériale américaine ont pris note du gel des réserves russes. La Chine ou l’Arabie Saoudite ne veulent pas perdre plusieurs centaines de milliards de dollars du jour au lendemain.
D'où la solution bitcoin, qui est à la fois un réseau de paiement et une monnaie de réserve. Deux en un. Cependant, les pays qui ne disposent pas de leurs propres mineurs de Bitcoin deviennent dépendants du reste du monde pour leurs transactions. Donald Trump l’a bien compris. "Je veux que tous les bitcoins restants soient extraits aux États-Unis", a-t-il déclaré.
La Chine en prendra-t-elle note, ayant cessé de placer ses excédents dans la dette américaine :
Bitcoin permet également d’éviter le gaspillage des excédents d’énergies renouvelables. Cette aubaine financière aide les producteurs d'énergie à financer la transition énergétique et à stabiliser le réseau électrique puisque les mineurs peuvent interrompre leurs opérations à la demande.
Il est temps que le vieux continent réalise que l’industrie du Bitcoin possède de nombreuses vertus. Deutsche Telekom, le plus grand fournisseur de télécommunications en Europe, vient d'annoncer qu'il se lancerait dans l'exploitation minière de bitcoins pour capitaliser sur ses excédents d'énergies renouvelables. Et EDF ?
Taux légal ?
Le Bitcoin a cours légal au Salvador. N’importe qui peut payer en BTC sans se soucier du calcul et du paiement de l’impôt sur les plus-values. Et quoi de plus normal pour une monnaie.
La sénatrice Cynthia Lummis – qui a rédigé un projet de loi visant à créer une réserve stratégique fédérale d'un million de bitcoins – entend supprimer les taxes sur les achats en BTC en dessous d'un certain montant.
La fin de cette taxe est très attendue. Peut-être que Donald Trump l’abolira. Cela correspondrait à son intention de réduire les impôts. Ce scénario est tellement attendu que même Michael Saylor a été impliqué dans une récente fausse nouvelle à cet effet :
Bitcoin n’est plus le croque-mitaine autrefois redouté par les banquiers. Ils ont réalisé que ce n’était pas une menace pour le système fiduciaire. Si le bitcoin a l’avantage d’exister en quantité limitée, la monnaie fiduciaire a l’avantage d’être créée ex nihilo.
L'outil du crédit est indispensable. Une société complexe en a besoin pour financer les centrales nucléaires, les réseaux ferroviaires, les lignes à haute tension, et toutes autres infrastructures à très forte intensité capitalistique et qui s'amortissent sur le long terme.
Une autre raison d'être optimiste est que le vice-président James David Vance détient entre 250 000 et 500 000 dollars en bitcoins. Elon Musk – fervent partisan de Trump – détient lui-même plusieurs dizaines de milliers de BTC à travers ses sociétés Tesla et Space X.
Il ne fait aucun doute que le milliardaire plaidera pour que les banques acceptent le bitcoin comme garantie pour emprunter des dollars. Selon Michael Saylor, ce service bancaire sera le moteur du prochain Bull Run, attirant les trésoriers de toutes les sociétés multinationales.
Stratégie Bitcoin
L’arrivée d’un président pro-bitcoin à la Maison Blanche lèvera l’anathème sur le bitcoin. Ce contexte politique favorable, combiné à l’ETF de BlackRock, devrait encourager les grandes multinationales
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