Cette limitation vise à éviter qu'un seul document ne soit trop volumineux et ne consomme trop de mémoire ou de bande passante réseau lors de sa lecture complète. Selon les principaux développeurs actuels de MongoDB, ils ne prévoient pas de supprimer cette restriction, mais l'augmenteront modérément à mesure que le coût relatif des ressources informatiques diminuera (mémoire moins chère, réseau plus rapide).
Explication officielle :
MongoDB limite la taille des données des objets/documents BSON individuels. Au moment d'écrire ces lignes, la limite est de 16 Mo.
Cette limite est conçue comme un contrôle d'intégrité et ne constitue pas une limite technique sur le document. L'idée est que si les documents sont plus grands que cette taille, il est probable que le schéma ne soit pas idéal. De plus, cela permet aux pilotes de faire certaines hypothèses sur la taille maximale des documents.
Le concept est que le maximum est atteint. La taille du document est une limite qui garantit que chaque document ne nécessite pas une quantité excessive de RAM de la machine, ni trop de bande passante réseau pour être récupéré. Par exemple, la récupération d'un document complet de 100 Mo prendrait plus d'une seconde via une connexion Gigabit Ethernet. . Dans cette situation, on serait limité à 1 requête par seconde.
Au fil du temps, à mesure que la capacité des ordinateurs augmente, la limite sera ajustée à la hausse.
Oui, y compris les sous-documents intégrés.
Cette limitation vise à éviter qu'un seul document ne soit trop volumineux et ne consomme trop de mémoire ou de bande passante réseau lors de sa lecture complète. Selon les principaux développeurs actuels de MongoDB, ils ne prévoient pas de supprimer cette restriction, mais l'augmenteront modérément à mesure que le coût relatif des ressources informatiques diminuera (mémoire moins chère, réseau plus rapide).
Explication officielle :